Bonjour,je me joins au courrier de Florent Cavaler. J’ai appris également, avec beaucoup d’émotion, le décès du prix Nobel de médecine Luc Montagnier, le 8 février, à l’âge de 89 ans.
Un grand Hommage au Pr Montagnier, un homme intègre, courageux, honnête…qui à fait des découvertes majeures sur la réplication des virus à ARN et sur le lien entre certains virus et le développement de cancers.
Sa mort n’est aujourd’hui même pas mentionnée dans Le Figaro, Le Monde, Libération ou Ouest-France. Ce silence embarrassant révèle le sectarisme des médias et des responsables politiques
Merci Monsieur Montagnier
Chère lectrice, cher lecteur,
J’ai appris hier, avec beaucoup d’émotion, le décès du prix Nobel de médecine Luc Montagnier, le 8 février, à l’âge de 89 ans[1].
Aucun média n’en a parlé, alors que le Professeur Montagnier a été sans aucun doute parmi les plus grands chercheurs français de notre époque, à l’avant-garde de la science sur de nombreux sujets.
Spécialiste en virologie, il travailla au CNRS, puis dans plusieurs laboratoires de recherche en Grande-Bretagne, où il fit des découvertes majeures sur la réplication des virus à ARN et sur le lien entre certains virus et le développement de cancers.
Après un passage à l’Institut Curie, il créa en 1972 l’unité d’oncologie virale dans le très respecté Institut Pasteur.
En 1983, Le Pr Montagnier et son équipe furent les premiers à isoler le virus du sida, une découverte considérable qui lui valut le Prix Nobel de médecine en 2008, et qui joua un rôle clé dans la lutte contre le sida.
Ses recherches ont notamment permis de comprendre le fonctionnement de ce rétrovirus, son rôle sur la maladie et de mettre au point le premier test de diagnostic sérologique du sida.
Luc Montagnier a aussi beaucoup œuvré pour la prévention du sida en Afrique, en créant notamment la fondation mondiale prévention et recherche sida sous l’égide de l’UNESCO.
En plus du Prix Nobel de médecine, le professeur a reçu des dizaines d’autres distinctions prestigieuses, dont le Prix Gallien, la médaille d’argent du CNRS, le prix Albert-Lasker et bien d’autres.
Par la suite, le Professeur Montagnier a continué à faire preuve de la curiosité et l’ouverture d’esprit qui caractérise à la fois les enfants et les grands scientifiques. Il s’est notamment intéressé à la mémoire de l’eau et aux signaux électromagnétiques qui seraient émis de l’ADN.
En avril 2020, en pleine pandémie, il a été l’un des premiers à suggérer que le virus du covid aurait été créé en laboratoire (cette annonce avait été très décriée dans les grands médias et considérée comme une théorie du complot. Mais depuis, d’autres chercheurs sont parvenus à des conclusions similaires et la question reste entièrement ouverte[2]).
Le Professeur Montagnier, qui a toujours défendu la liberté vaccinale (et plus généralement la liberté dans les soins) faisait aussi partie des rares chercheurs à avoir eu le courage d’alerter sur les risques liés à la vaccination.
Il était un véritable lanceur d’alerte, dénonçant parfois avant tout le monde de graves scandales sanitaires, comme l’affaire du sang contaminé ou encore les dangers de l’aluminium dans les vaccins, encore niés aujourd’hui par nos autorités malgré des preuves accablantes.
J’ai un grand respect pour Luc Montagnier et pour tout ce qu’il a apporté au monde de la santé.
Il représentait le scientifique par excellence, droit dans ses bottes, sans conflit d’intérêt, passionné par la découverte de la vérité quelle qu’elle puisse être.
Il n’hésitait pas à explorer de nouvelles voies, à remettre en question certains dogmes et à rendre public ses découvertes même les plus « dérangeantes » sans craindre de se mettre à dos les politiques, les laboratoires et une partie de la communauté scientifique.
Aujourd’hui, j’ai une pensée émue pour ce grand scientifique et pour tous ses proches.
Amicalement,
Florent Cavaler
Bonjour, triste d’ apprendre la nouvelle par la « bande »…..rien dans les médias moutonniers!!!!!
Un chercheur mondialement connu, libre penseur…désespérant!