COVID, 15 jours sous la couette et toujours vivant…

 

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Bonjour,

Comme je vous l’ai spécifié dans un précédent article, j’ai fermé boutique pour cause de COVID…je suis resté comme les animaux patiemment blotti une quinzaine de jours sous ma couette en attendant que l’orage passe.

Aujourd’hui je vais bien, je n’ai pas de séquelles particulières, mais j’ai envie de parler de cette aventure avec un regard personnel, mais aussi à visée collective.
Une expérience de plus, qui me conforte dans ma démarche d’une approche singulière du système de santé, de sa prévention et de ses traitements.

Je ferai également un focus sur l’environnement pollueur, tout ce que j’ai pu entendre et tout ce que l’on continue à déverser sur « les non vaccinés » par exemple. Ces pestiférés, ces emmerdeurs, ces irresponsables qui ne font qu’entretenir l’engorgement des hôpitaux ( amputés depuis des années). Et oui je ne suis pas vacciné et même si pendant ces 15 jours cahotique, j’ai pu regretter. Mais je me suis vite rendu compte ( malgré ma condition à risques) que toute la prévention que j’avais mis en place pendant des mois m’a servi à mieux supporter la charge virale et à faire en sorte que cette agression soit mieux supportée par mon organisme.

Alors pourquoi je ne suis pas vacciné ?
Tout d’abord par le fait que la confiance ne se soit pas installée, trop de non dits, un manque de recul, le fait que la période d’essai ne soit encore qu’en phase3 (On nous injecte un essai thérapeutique et non un vaccin) Des effets secondaires que l’on nous cache et qui sont pourtant existant et nombreux. Je crains que dans quelque temps on découvre une vérité accablante. Et puis se faire vacciner, pendant une pandémie me semble discutable. C’est mon regard, et je tiens qu’il soit respecté. Trop facile de m’accuser d’individualiste. Dans cette période tendue, on se doit d’accepter les différences.
D’autre part il faut savoir que le pass vaccinal ne rend pas l’Etat responsable en cas de problème de santé lié au COVID, par contre en cas d’obligation vaccinal l’état engage sa responsabilité. C’est un point qui a une importance considérable, qu’on se le dise !!!!

Lorsque j’ai constaté ma positivité, j’ai vite compris que je ne devais rien attendre du corps médical « classique » qui me conseillait de prendre du Doliprane et d’appeler le 15 si la situation s’aggravait Pas très rassurant lorsque l’on commence à avoir 38,5 / 39 degrés de fièvre et que le soutien psychologique est quasi inexistant. Heureusement que j’ai fait appel à un réseau de médecins plus engagés, plus responsables…j’ai pu profité d’un protocole adapté, que j’ai immédiatement mis en œuvre. Je les en remercie. Je leur dois beaucoup . Je remercie aussi mes filles qui nous ont bien aidé ma femme et moi à traverser moralement et physiquement cette parenthèse de vie.

Pourquoi avoir écarté des médicaments qui ont fait leur preuve depuis des années comme l’Ivermectine ou la chloroquine qui est sorti du champ médical par des études bâclées… conflit d’intérêt ??? c’est une question qui mérite réponse.

Et si l’on imaginait que les personnes soient dotées d’un trousseau de première ligne de diagnostique ( thermomètre, saturateur pour le taux d’oxygène….)
Solutions médicamenteuses autre que les anti-douleurs classiques et qui permettraient de soulager les services d’urgence. Rendons la population responsable et acteur de sa santé.

Vitamine C, vitamine D, zinc, oméga3, sélénium, magnésium, molécules Redox…sans oublier une alimentation saine et riche en minéraux ont certainement contribué à améliorer ma résistance, à renforcer mon système immunitaire. J’ai perdu le goût et l’odorat pendant 3 à 4 jours, vite retrouvé, je n’ai eu aucune complication respiratoire, ni digestive…par contre la fatigue a été assez sévère. J’ai pratiqué le jeûne, en buvant beaucoup. Je dois préciser également qu’une semaine avant j’avais fait une cure de détox chez des amis naturopathes ( je vous en parlerai dans un prochaine article )

J’estime avoir adopté une attitude « responsable » qui a imposé un certain investissement. Une prise en « main ». Certes, il est plus simple de se faire vacciner, vous tendez le bras et vous pouvez aller au cinéma en mangeant des pop corns, en buvant du coca cola vous n’aurez même pas besoin de présenter votre pass anti-sucre et pourtant il serait bien nécessaire et protecteur pour un grand nombre, mais ça personne n’en parle, et pourtant on est dans BAB de la prévention.

Mais l’hygiène de vie passe souvent en arrière plan, les vitamines, les compléments alimentaires sont considérés comme des gadgets…cet état d’esprit du tout « vaccination » me fait penser à ce que l’on a connu avec les antibiotiques à une époque ou pour un simple rhume on vous en prescrivait, aujourd’hui on s’aperçoit que les organismes sont de moins en moins réceptif et que leur efficacité est diminué. Je crains que l’on connaisse le même phénomène avec les vaccins.

Autre observation : pour se soigner de la Covid dans les meilleures conditions mentales, je vous conseille d’éteindre les médias qui véhiculent, la peur, l’horreur, les mensonges, les non dits…les émissions sont animées par des scientifiques, des médecins appartenant à un système de pensée et qui sont des marionnettes assidues. Il y a malheusement très peu de débat contradictoire. Des médecins comme Péronne, Fouché, Willem…le prof Montagné sont exclus des plateaux de TV et pourtant ils ont des arguments de poids ( non complotiste ) à faire valoir, mais ils sont muselés voir exclus par le conseil de l’ordre des médecins.

Parmi les hérésies que j’ai relevé il y en a plusieurs qui m’ont exaspéré :
– pendant la période COVID j’ai été opéré 3 fois, j’ai eu des examens, des traitements mes dates n’ont jamais été déprogrammé. Un mensonge supplémentaire diffusé pour culpabiliser.
– le personnel a toujours été tolérant même par le fait que je n’étais pas vacciné. J’ai même ressenti un respect, une empathie. Beaucoup ont été obligé
de se faire injecté contre leur gré, il ne faut pas l’oublier…
– Par contre j’ai vu des établissements fermer leurs lits, leurs étages… par manque de personnel, notamment d’infirmière. J’ai pu également constaté que certains services étaient à flux tendu, sur le fil du rasoir par manque de moyens humains.
Oui l’hôpital est malade pas spécialement à cause de la Covid, oui il y a un manque de personnel depuis des années et un manque de considération « affligeant ». Il est temps de considérer le soin autrement. Un vrai sujet de société que les candidats à l’élection présidentielle doivent réfléchir avec sérieux.

 

Pour en revenir à la Covid et à la prévention qui est un sujet qui me tient à cœur, parce que je me sens un citoyen « responsable » il serait temps de développer une attitude préventive au détriment d’une attitude « pompier de service ». Des virus…il y en aura d’autres, apprenons à vivre en résistance, en oubliant les confinements, les mises à l’écart, mais plutôt en adoptant un comportement rassurant, bienveillant, en recherche de responsabilité sanitaire. Développons et construisons la confiance en soi et non une division délétère.

Une dernière remarque quand je vois grimper le CAC40 je me dis que l’économie à pris de nouveau le pas sur la santé. Bizarre non ???  cette situation profite de plein fouet à certains ??? il est où l’égoïsme ???

Pour INFO voici un dossier PDF du conseil de la santé de Belgique
qui vous donne une multitude de conseils de prévention

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Une réponse à “COVID, 15 jours sous la couette et toujours vivant…”

  1. JF
    6 janvier 2022 à 15 h 57 min #

    BRAVO DAN !

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