photo Daniel Meynial
Bonjour,
Il semblerait que le virus covidien ait une vibration de 5,5hz et meurt au-dessus de 25,5hz.
Pour les humains ayant une vibration plus élevée, l’infection est un irritant mineur qui est rapidement éliminé !
Je dirai que cela peut également s’appliquer également pour le cancer.
Les raisons d’avoir une vibration basse peuvent être :
Peur, Phobie, Suspicion
Anxiété, stress, tension.
Jalousie, Colère, Rage
Haine, avidité
Attachement ou douleur
Et donc… … nous devons comprendre qu’il faut vibrer plus haut, afin que la fréquence inférieure n’affaiblisse pas notre système immunitaire.
La fréquence de la terre aujourd’hui est de 27.4hz. Mais il y a des endroits qui vibrent très bas comme :
Les hôpitaux
Les centres d’assistance.
Prisons
Les souterrains, etc.
C’est là où la vibration tombe à 20hz, ou moins.
Pour les humains dont les vibrations sont faibles, le virus devient dangereux.
Douleur 0.1 à 2hz.
Peur 0,2 à 2,2 Hz.
Irritation 0.9 à 6.8hz.
Bruit 0,6 à 2,2 hz.
Fierté 0,8 hz.
Supériorité 1,9 hz.
Une vibration plus élevée, par contre, est le résultat des comportements suivants :-.
Générosité 95 hz
Gratitude 150 hz
Compassion 150 hz ou plus.
La fréquence de l’amour et de la compassion pour tous les êtres vivants est de 150 Hz et plus.
L’amour inconditionnel et universel à partir de 205 hz.
Alors… Allez…
*Vibrez plus haut !!!
Qu’est-ce qui nous aide à vibrer plus haut ?
Aimer, sourire, bénir, remercier, jouer, peindre, chanter, danser, faire du yoga, du tai-chi, méditer, marcher au soleil, faire de l’exercice, profiter de la nature, etc.
Aliments que la Terre nous donne : graines, céréales, légumineuses, fruits et légumes, etc.
Boire de l’eau : nous aider à vibrer plus haut ….. !!!
*La vibration de la prière seule va de 120 à 350hz. Alors chantez, riez, aimez, méditez, jouez, remerciez et vivez ! Vibrons haut…!!_.
Source : cette information est compilée et éditée par le Naturothérapeute Dr. Harshal Sancheti, Nasik mais la source originale de cette information est le livre Power Vs Force.
Basé sur la thèse de doctorat de David R Hawkins