je m’appelle « spike »

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Bonsoir les zami(e)s,

Désolé mais je n’ai pas trop écrit ces dernières semaines, et pour cause j’ai accompagné ma maman dans son dernier voyage. Nous lui avons fait une belle cérémonie d’adieu avec musique, chants, textes…elle devait être contente la mamie. Paix à son âme. Mais cette situation m’a rapproché de la fin et c’est pas rien.

Dans quelques jours je vous communiquerai mon bilan du mois de mai.

En attendant, je vous transmets le dernier billet d’humeur du Dr Rueff : je m’appelle « spike ».

Je voulais vous dire aussi que je ne suis toujours pas vacciné. 

 
 
 
Chère amie, cher ami,
Eurêka ! J’ai compris (ou cru comprendre) le vrai problème des vaccins à ARN messager !
Ce n’est pas du tout la technique de fabrication de ces vaccins qui est en cause. Bien au contraire, cette technique est le fruit de plus de dix années de recherches. Les vaccins contre le Covid en ont profité au passage, mais ils n’étaient pas « la cible première » de ces recherches.
Non, cette cible, c’est plutôt le vaccin qui sera prochainement mis au point contre le paludisme, un vrai fléau mondial qui, lui, tue beaucoup plus de monde que notre fichu virus. Cette cible est aussi celle d’un vaccin contre le virus Zika, transmis par la piqûre d’un moustique infecté, contre la dengue, cette maladie tropicale qui peut tuer par hémorragie, ou enfin contre la grippe saisonnière, qui mute constamment.
Mais ces recherches sont aussi un formidable espoir pour la lutte contre le cancer. À partir d’un prélèvement tumoral, les chercheurs pensent, avec cette technique, pouvoir donner des informations au système immunitaire afin qu’il se défende spécifiquement contre la tumeur de l’hôte.
Je vous invite à vous procurer le numéro 1593[1], du 12 au 19 mai 2021, de l’hebdomadaire Courrier International. Vous y trouverez un passionnant dossier intitulé « Les promesses de l’ARN messager ». Et croyez-moi, il y en a.
À la fin de ce long dossier, vous trouverez un encadré dont le titre très explicite confirme une information que je vous ai déjà donnée dans des messages précédents. Non, la vaccination par ARN messager ne fera pas de vous un mutant, car l’information génétique reste dans le cytoplasme de la cellule, donc loin de son noyau qui contient les chromosomes. De plus, le fragment d’ARN synthétique qui est introduit se détruit très rapidement.
Le vrai problème n’est donc pas l’introduction d’ARN messager dans nos cellules, c’est la protéine Spike !
C’est grâce à elle que le virus pénètre nos cellules. C’est cette protéine que nos cellules fabriquent à la suite de l’injection vaccinale, afin que nous puissions nous en immuniser.
Lorsque la technicité vaccinale de l’ARN messager sera utilisée pour provoquer un rejet immunitaire du plasmodium falciparum (à l’origine du paludisme) ou le rejet d’autres virus, il n’y aura, à priori, pas de problème. Mais lorsque cette technique nous fait sécréter, pour nous défendre, la même protéine que celle qu’utilise le virus pour nous coloniser, là, il risque d’y avoir un problème.
Les risques liés à cette protéine sont en effet de trois sortes :
 
* des risques de coagulopathies semblables à celles que provoque le virus, en particulier avec le vaccin à ADN d’AstraZeneca ;des risques de myocardite, principalement observées en Israël, sans qu’une relation avec le vaccin soit définitivement actée, et cinq cas en France[2];des risques neurologiques, qui proviendraient du fait que la protéine Spike franchit la barrière hémato-méningée[3], c’est-à-dire la barrière sang/cerveau, provoquant des symptômes qui ressembleraient à ceux de l’affection que l’on appelle « Covid long ».
*Une publication du média FranceSoir en date du 15 avril 2021 et signée du docteur Kevin Mc Cairn[4] précise : « La protéine Spike est un facteur de virulence essentiel du virus SARS-Cov2 (…). Son expression implique de nombreuses potentialités toxiques, autonomes par rapport à la présence du virus et susceptibles de reproduire certaines manifestations cliniques de la maladie Covid-19. »
*Le rôle de cette protéine ne se limite donc pas à la « présentation du virus » à notre système immunitaire. Elle est, en elle-même, un toxique contre lequel notre système immunitaire va réagir immédiatement et à plus long terme. Il va engendrer des réactions auto-immunes et inflammatoires qui peuvent toucher aussi bien le système nerveux que le cœur, les reins ou d’autres organes.
C’est cette même protéine que l’on retrouve dans les neurotoxines provenant du venin de serpent de la famille des Elapidae.
Notons au passage que certains médecins homéopathes ayant traité des infections au Covid-19 disent avoir obtenu de bons résultats avec la souche « bothrops », une dilution homéopathique d’un venin de serpent extrêmement venimeux.
Un peu plus loin, le même article laisse entendre que « la singularité de la protéine Spike pourrait induire l’agrégation et la fibrillation de protéines amyloïdes », des agents infectieux que l’on appelle aussi « prions » et qui sont à l’origine de la maladie de « la vache folle », ou maladie de Creutzfeldt-Jakob[5].
En conclusion, ce n’est peut-être pas le vaccin en lui-même qui pose problème, mais le fait que son efficacité soit la conséquence de la synthèse par nos propres cellules de la même protéine toxique que celle « naturellement » présente dans le virus.
Comme je l’ai déjà écrit dans de précédentes lettres chacun, prendra sa décision personnelle et nul ne la remettra en question.
Mais j’ose croire qu’il n’est jamais inutile de s’informer avant de la prendre et de se décider en fonctions de ses propres antécédents.
Prenez soin de vous,
Docteur Dominique Rueff
 
 
 
 
 
 

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