C’est un sujet dont il faut parler, et plus particulièrement par rapport à notre pathologie…il ne doit surtout pas être tabou. La vaccination arrive à grands pas, plus vite que prévu.
Je ne sais pas vous mais, personnellement je reste très interrogatif, même si je fais parti d’une population « dite à risque ».
A priori, je ne suis pas contre les vaccins, mais je trouve qu’il y a beaucoup de questions qui restent sans réponse.
Toujours pas de preuve concrète de la fiabilité et de la sécurité de ces vaccins fabriqués en quelques mois. J’ai toujours entendu dire qu’il faut en moyenne 9 à 10 ans pour concevoir un vaccin !! Certes on utiliserait une nouvelle technologie ( pourquoi pas ?) mais qui n’a jamais été testé sur l’homme à grande échelle, comme l’ARN.
Et surtout , pourquoi développe-t-on des vaccins à base d’OGM ?
J’ai comme l’impression que de nouveau on a oublié le principe de précaution.
On a l’outil miracle, l’arme fatale sortie du chapeau qui va solutionner notre problématique. J’en suis pas si sûr !!!
Combattre oui mais pas à n’importe quel prix.
Ces vaccins aux OGM, ne sont pas véritablement des vaccins mais des « produits de thérapie génique » dit le professeur Christian Perronne. Contrairement à l’approche classique en effet, qui consite à injecter un virus désactivé ou atténué, l’injection contient ici des acides nucléiques, dont on espère qu’ils provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.
Comment ne pas être septique ??
Aucun recul sur son efficacité, sa tolérance par l’humain, ses risques à moyen ou long terme. Cette fameuse phase 3 qui permet de garantir la sécurité est galvaudée. En chine on a même « zappé »
Je suis tombé sur un article dont je vous mets le lien et qui incite les malades du cancer à se faire vacciner. J’ai retenu ( une partie) de ce qu’a dit le Docteur LopezGastro-entérologue et coordonnateur adjoint de la Fédération de cancérologie du CHRU de Nancy :
« Si les bénéfices d’un médicament surpassent les risques, alors les patients acceptent le traitement. Pour illustrer, je fais le parallèle avec la chimiothérapie. Pour cause, il n’y a pas pire qu’une chimio, au niveau des effets secondaires. Pourtant, les malades du cancer acceptent tous de la recevoir. J’ai donc du mal à comprendre qu’on ne puisse pas faire ce même cheminement avec la vaccination. »
Je répondrai : merci pour « le pire qu’une chimio », merci d’avouer les risques, d’autre part les patients n’acceptent pas tous de la recevoir, pour ceux qui disent « oui » ils n’ont pas trop le choix, pas trop d’alternative. Dans mon cas qui suis sous chimiothérapie, je ne souhaite pas rajouter des effets secondaires, je préfère mettre l’accent sur l’enrichissement de mon système immunitaire en utilisant en haute dose de la D3, du ZINC, de la vitamine C, des probiotiques et une alimentation riche et équilibrée.
On ne met pas suffisamment l’accent sur le système immunitaire, même en cas de cancer, c’est déplorable.
Demain le virus va muter, comme ça se passe aujourd’hui en Angleterre. Il faudra donc un nouveau vaccin. Ce n’est pas la solution à long terme…c’est une hérésie.
Je prends le risque de faire CONFIANCE à mon CORPS. C’est un choix…
Je respecte les gestes barrières, j’évite les lieux peuplés, je me lave les mains, je porte le masque…je continue de fréquenter les hôpitaux et les lieux qui me soignent.