surmonter la maladie par la méditation créatrice

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Voici un témoignage recueilli par Jean-Marc Dupuis de Santé nature innovation et qui montre la puissance de guérison par la méditation.
Marc est touché par une maladie incurable. Ou, plus précisément, incurable par les moyens de la médecine conventionnelle.
Mais la méditation créatrice a aidé Marc de façon décisive. Il ne pouvait plus se tenir debout, tenir un stylo, mettre du dentifrice sur une brosse. En quelques mois, il est redevenu capable de faire 50 kilomètres à vélo, de manier la scie-sauteuse et la perceuse.
 
Voici son témoignage :
« Je suis porteur du syndrome d’une maladie génétique (la maladie du X fragile) qui a deux stades : soit on est « porteur sain » comme moi et on a quelques problèmes en avançant en âge (j’ai 67 ans dans un mois), principalement des pertes d’équilibre inexpliquées, soit on est malade mental (cette maladie est la deuxième cause de maladie mentale après la trisomie 21).
 
Nous avons les deux cas dans notre famille : un petit neveu est malade mental avec un taux de 1600 (c’est la mesure du taux de maladie : on est déclaré malade mental à partir de 200), et moi, qui ai un taux de 94.
 
Je suis le quatrième enfant d’une famille de six, tous porteurs de la maladie, mais non malades. Je suis actuellement le seul à avoir des problèmes d’équilibre qui arrivent, d’après les médecins, plutôt aux hommes et vers l’âge de 60 ans. C’est exactement mon cas.
 
Cette maladie est étudiée depuis 1991 seulement et j’ai dû aller en Suisse pour avoir la confirmation du diagnostic d’un laboratoire français. Il n’existe actuellement aucun traitement de la médecine traditionnelle.
 
Après ces précisions utiles sur la maladie, voici mon histoire :
 
J’ai été diagnostiqué « X fragile » en 2011 seulement, mais mes problèmes ont commencé en 2006. Depuis longtemps, mon épouse et moi animons un partenariat avec un village de brousse à l’est du Sénégal. Le jour de notre arrivée à Dakar, je ne tenais pas debout et devais me tenir au mur de l’hôtel pour pouvoir avancer. Le médecin qui m’a ausculté a accusé l’antipalu que je prenais depuis trois jours (la malarone, antipalu fortement dosé car, de plus, le Sénégal venait de passer du risque 2 au risque 3 en ce qui concerne le paludisme). Heureusement, ce malaise ne m’a duré qu’un jour et nous avons poursuivi notre voyage pour atteindre le village à 650 km de Dakar. Je dois préciser que, trois jours après notre retour en France et donc l’arrêt de la malarone, j’ai eu le même malaise qui m’a duré également un jour, ce qui confirmait le diagnostic du médecin sénégalais (le médecin français a suivi cet avis-là).
 
Je n’ai plus eu de problèmes jusqu’en 2009 (le 3 janvier exactement). Ce jour là, je faisais du ski avec mon fils et ses deux enfants. Lors d’une descente, ne me voyant pas arriver, mon fils se préparait à remonter la piste lorsque je suis arrivé sur mes skis, lui disant que j’étais tombé (quoi de plus banal au ski) et que je n’arrivais pas à me relever. J’ai effectué trois descentes encore (dont je n’ai aucun souvenir) avant d’avoir des propos très surprenants, style « On m’a dit que j’étais tombé » alors que c’était moi qui venais de le raconter. J’ai dit cette phrase plusieurs fois et mon fils a appelé les secours. De ma chute, des paroles dites, des trois descentes effectuées, je n’en n’avais aucun souvenir (je n’en ai toujours pas) et j’ai commencé à « revenir sur terre » à mon arrivée à l’hôpital situé à 20 km de là. J’étais dans un état second mais pas dans le coma. Après de multiples IRM, scanner, électrocardiogrammes et radio de toutes sortes, tous ces examens se révélant négatifs, on m’a laissé sortir de l’hôpital sans savoir ce que j’avais.
 
La vie a repris et, à l’occasion d’une cure thermale près de Sète, j’effectuais une sortie en vélo ; après 20 km dont je n’ai aucun souvenir, j’ai fait une chute et n’ai repris mon esprit qu’à l’hôpital de Sète où j’ai eu droit à tous les examens cités plus haut, tous négatifs. Mais, de ma sortie en vélo, du trajet effectué, de ma chute, de la personne qui m’a trouvé et averti les pompiers, du trajet avec les pompiers, je n’en ai pas du tout souvenir. Cela aurait pu être un rêve, sauf que j’avais un énorme traumatisme crânien qui m’a duré six mois. Je suis donc ressorti une deuxième fois de l’hôpital sans savoir ce qui me faisait perdre l’équilibre.
 
J’ai décidé de chercher par moi-même et lors d’une réunion familiale, on a parlé du cas de mon petit neveu et j’ai donc décidé de me faire analyser relativement à cette maladie. Les résultats (taux 94) étaient doublement rassurants : je savais enfin ce qui me faisait perdre l’équilibre, et que j’étais simplement porteur (donc je ne serai jamais malade mental car il n’y a aucun passage possible d’un stade à l’autre). Je me suis rendu en Suisse pour consulter le spécialiste qui étudiait cette maladie et qui m’a confirmé tout ce qui est dit plus haut. Mais aucun traitement !!!
 
J’ai consulté plusieurs médecins qui soignaient des maladies rares, pris des antibiotiques pendant plus d’un an, mais rien n’y faisait : en 2012, je marchais exactement comme un ivrogne, allant d’un mur à l’autre dans un couloir ou une petite rue, et devais me concentrer très fort sur mon équilibre et regarder où je mettais les pieds, même en terrain plat, pour éviter la chute.
 
C’est dans le cercle de nos amis que nous avons trouvé de l’aide : une amie chiropracticienne nous soignait pour différents maux de dos et elle m’a proposé d’essayer la méditation créatrice, d’abord en groupe de cinq ou six personnes, et depuis quelques temps, des séances personnalisées plus efficaces.
 
Il s’agit de se mettre dans l’intention de créer une nouvelle personnalité car nous n’utilisons que 10 % de nos possibilités et, en agissant au sein des 90 % restant, on peut créer, dans notre cerveau, de nouveaux réseaux et de nouvelles connexions de neurones qui permettront à notre cerveau de lire nos gènes et notre ADN d’une autre façon.
 
Je me projette, en pensée, dans ma nouvelle personnalité (comme je voudrais être) en faisant comme si j’étais déjà comme cela. J’emploie donc le JE (je suis stable, je marche en ligne droite) et non pas « je ne veux plus marcher comme un ivrogne ») : pensée positive et non pas négative.
 
J’utilise la pensée comme moyen pour arriver à l’expérience (au fil des méditations), je vis peu à peu ces expériences comme de plus en plus vraies et cela me déclenche des émotions fortes : ce sont ces émotions qui vont agir sur le corps (ou l’esprit).
 
Le corps ou l’esprit vont peu à peu croire que la nouvelle personnalité existe déjà et vont donc se mettre en phase avec cette nouvelle personnalité.
 
Pour illustrer mon propos, revenons à mon cas personnel : je fais de la méditation créatrice depuis janvier 2014 (un an), mais journellement depuis septembre, et dans chacune de ces méditations, je me vois marcher de façon rectiligne, faire du vélo correctement, écrire de façon aisée et faire des actions manuelles de précision (oui, j’avais également ces problèmes : ne plus pouvoir écrire, lâcher des objets sans raison, ne plus être capable de mettre mon dentifrice sur ma brosse).
 
Eh bien, VIVE la MÉDITATION CRÉATRICE  ! En un an, tous ces problèmes se sont considérablement améliorés : je marche presque en ligne droite, naturellement sans surveiller mes pieds, j’ai recommencé à faire du vélo comme avant (minimum 50 km), comme avant je bricole beaucoup (perceuse, scie sauteuse…)
 
Et je continue les méditations car cela va s’améliorer encore !!! Courage et espoir !!! »
 
Marc ISOARD 
 
Eh bien oui, cher Marc, votre message de courage et d’espoir est extraordinaire ! Nous vous disons merci de répandre autour de vous une telle énergie, une si grande joie. 

Dans un prochain article je vous donnerai le chemin  pour vous rendre à la méditation créatrice
 
 

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