Dans sa dernière lettre le Docteur Thierry Schmitz nous parle du curcuma et de sa forme liposomale, de son point de vue c’est la meilleure assimilation qu’il connaisse…découverte. Un moyen aussi de mieux supporter les traitements et de stimuler son système immunitaire.
Chère lectrice, cher lecteur,
Depuis 2 ans, le curcuma fait figure de star de la santé naturelle. C’est la nouvelle poudre de perlimpinpin.
Vous n’avez même plus besoin d’aller dans une pharmacie ou un magasin bio pour vous en procurer. On en trouve partout, même dans les supermarchés…
Malheureusement, la qualité n’est pas toujours au rendez-vous.
Pourtant les vertus du curcuma sont merveilleuses.
D’ailleurs, les indiens et les asiatiques en consomment depuis des siècles et c’est ce qui leur assure une excellente santé.
Leur délicieuse recette de curry a fait le tour du monde, de Londres à Tokyo, et je vous prie de croire que ce n’est pas seulement grâce à ses saveurs uniques, mais surtout car le curcuma a des effets santé extraordinaires :
- il combat les virus et les champignons ;
- il régule vos défenses immunitaires ;
- il augmente la durée de vie de vos cellules et en même temps il empêche qu’elles dégénèrent sous forme cancéreuse ;
- il a un effet extraordinaire sur l’arthrose, mais aussi la sclérose en plaques et les autres maladies auto-immunes ;
- Ses effets anticancer ne sont plus à démontrer.
Mais comment faire la différence entre le vrai curcuma qui soigne et le faux qui ne sert à rien ? Cette différence ne tient qu’à vous.
Vous en mangez déjà très souvent
Le curcuma est abondant dans l’industrie agro-alimentaire comme colorant : c’est l’additif E100.
Sous cette forme, il n’a aucune vertu thérapeutique.
Les vertus du curcuma ne se retrouvent que dans 3 à 7% de la masse de la racine : c’est la curcumine, son essence médicinale.
Il faut environ 80 grammes de curcuma pour extraire 2,5 grammes de curcumine.
Des joyaux microscopiques, les curcuminoïdes
Dans le curcuma, il y a la curcumine, mais aussi de nombreux composés de la même famille : les curcuminoïdes.
Ils ont une grande valeur anti-inflammatoire, au point de pouvoir se substituer aux anti-inflammatoires chimiques (qui sont toxiques à long terme).
Les curcuminoïdes ont également un effet antidouleur certain, important quand on sait que l’aspirine peut avoir des effets nocifs à haute dose (il empêche la cicatrisation et altère le mécanisme de la fièvre). De leur côté, l’ibuprofène (Tylenol, Advil) et le paracétamol (Doliprane) sont des poisons pour le foie, puisqu’ils éliminent le principal antioxydant de notre corps, le glutathion…
Le curcuma est un SUPER antioxydant
Les mécanismes antioxydants de la curcumine ont été très largement étudiés.
- Elle possède des effets anticancer unanimement reconnus par la communauté scientifique. Elle augmente considérablement les effets thérapeutiques de la radiothérapie et de la chimiothérapie. Les patients qui souffrent du cancer, une fois sous traitement de curcuminoïdes de très haute qualité, ont une bien meilleure résistance aux effets secondaires des traitements. Ils voient ainsi diminuer la fréquence et l’intensité des vomissements, des troubles digestifs, de la perte de poids, de l’effondrement de leur système immunitaire.
- La curcumine ralentit la progression de la maladie d’Alzheimer grâce à sa double action : elle retarde la formation de plaques cérébrales de dépôt amyloïdes dans le cerveau et elle en réduit aussi les effets.
- Elle augmente significativement la résistance de vos artères, puisqu’elle empêche les graisses du sang de se dégrader en déchets qui encombrent vos veines. De ce fait, elle diminue la formation des plaques d’athérome (la bouillie dure qui bouche les vaisseaux sanguins). Ainsi, elle réduit le risque d’infarctus et d’AVC.
Le seul problème, c’est que si vous avalez simplement du curcuma, vous n’aurez pas ces bienfaits.
En effet, les molécules sont trop grosses pour que l’intestin les laisse passer.
Alors comment faire ?
Bien sûr, vous pouvez le cuisiner à l’indienne, en y ajoutant du poivre long, mais vous risquez des problèmes d’allergie et des maladies auto-immunes.
En effet, le curcuma rentrera à coup sûr dans votre organisme, mais vous devrez porter la plus grande attention aux aliments que vous avalez avec. Les pesticides et les métaux lourds se fraieront beaucoup plus facilement un chemin dans votre organisme. Donc soyez prudents !
D’autant que je ne suis pas sûr que vous soyez prêts, comme les Indiens, à manger du curry tous les jours ou plusieurs fois par semaine pour bénéficier des effets du curcuma !
C’est là qu’intervient la technique liposomale.
Comment profiter des bienfaits du curcuma facilement ?
La technique liposomale permet de faire entrer dans votre organisme n’importe quel nutriment en excellent état.
Il s’agit simplement d’encapsuler les molécules de curcuma dans des liposomes, des sphères protectrices que l’organisme adore.
Dans cette enveloppe protectrice, le curcuma atteint une efficacité 20 fois supérieure aux compléments classiques !
Pourquoi une telle efficacité ?
- L’enveloppe protectrice du curcuma est faite de phospholipides, la même substance que les parois de vos cellules et de vos neurones. L’intestin les accepte volontiers parce votre corps en a vraiment besoin.
- La curcumine et les curcuminoïdes sont très fragiles. Grâce à l’enveloppe liposomale, ces précieux nutriments ne sont pas dissous par l’acidité du système digestif !
En tant que médecin, je recommande vraiment de consommer le curcuma sous cette forme si vous souhaitez bénéficier de ses bienfaits extraordinaires.
Vous verrez vite la différence !
Surtout si vous décuplez ses effets en l’associant au resvératrol.
Ce tanin (le resvératrol) explique à lui seul le fait que les Français soient moins sujets aux maladies cardiovasculaires que les autres peuples.
On le retrouve notamment dans le vin, et ses effets redoublent ceux du curcuma, pour une efficacité maximisée.
Je serai ravi d’avoir votre avis sur le sujet. C’est toujours un plaisir de vous lire !
Dr. Thierry Schmitz
PS : vous pourrez trouver du curcuma liposomé de bonne qualité sur cette page.
