Selon le Dr Jean-Pierre Willem, docteur en médecine, chirurgien, anthropologue et pionnier des médecines naturelles, la propolis rouge présente une activité antitumorale considérable ayant été démontrée dans des études in vitro et in vivo depuis les années 1990.
Ces études prouvent que les extraits éthanoliques contenus dans la propolis rouge enrayent le développement de différentes lignées cancéreuses humaines, les principes actifs responsables de cet effet anticancéreux étant :
→la quercétine, célèbre antioxydant,
→l’acide caféique et ses dérivés (C.A.P.E.) provoquant l’apoptose des lignées tumorales dans les cancers du sein, du côlon, du rein et en cas de mélanomes, tout en prévenant la réplication de cellules malignes dans les cellules saines,
→et le diterpène clérodane, repérant et détruisant les cellules tumorales.
La cytotoxicité, c’est à dire la capacité d’anéantissement des cellules cancéreuses qu’offre la propolis rouge, est un procédé complexe interrompant l’alimentation des cellules mutantes en bloquant la fabrication de nouveaux vaisseaux sanguins, privant ni plus ni moins la tumeur des nutriments nécessaires à sa prolifération.
Sans aucun dommage sur les cellules saines, le processus de cytotoxicité est renforcé par :
→la stimulation du système immunitaire,
→l’activité antioxydante des flavonoïdes,
→et la prévention naturelle de l’oxydation des lipides, protéines et même de l’ADN par les radicaux libres…
Ce qui donne à la propolis rouge des qualités synergiques très intéressantes dans la mesure où elle :
→protège les cellules saines et l’ADN,
→détruit les cellules cancéreuses,
→et stimule énergiquement le système immunitaire.
En cas de chimiothérapie ?
L’association de propolis comme accompagnement dans le cadre de chimiothérapies est un sujet qui intéresse de plus en plus de chercheurs puisque, comme tout le monde le sait, les traitements conventionnels du cancer présentent des inconvénients majeurs, voire mortels.
C’est pourquoi toutes les sortes de propolis sont actuellement étudiées dans le but de mieux comprendre les bénéfices dont tant de malades témoignent.
Si aujourd’hui la chimiothérapie entraîne de nombreuses infections liées à la dégradation de la qualité du sang, avec notamment une baisse importante des globules blancs et rouges, affaiblissant dangereusement les malades…
La propolis rouge, elle, que ce soit en traitement ou en prévention, est parfaitement bien tolérée, sans aucun risque de candidose, de problèmes rénaux ou hépatiques pouvant résulter d’une médication chimique.
Toujours selon le Docteur Willem, « l’association de propolis rouge à la chimiothérapie donne des résultats intéressants : les globules blancs diminuent en proportion moitié moindre et le nombre de globules rouges redevient normal au bout de 35 jours de traitement. »
Il est donc clair que non seulement la propolis fait baisser le nombre et le volume des métastases, mais en plus elle contrecarre les effets secondaires les plus dangereux d’une médication de synthèse ou d’une chimiothérapie.
Qui plus est, elle permet de rétablir une flore intestinale riche et saine, généralement détruite par le traitement, restaurant par la même occasion une bonne assimilation des nutriments indispensables à la guérison finale.
Pour info, je fais le test en cours de chimio et mes résultats sur les globules sont assez étonnants, je continue donc dans cette démarche. Et quand je vois le travail effectué par nos abeilles et la façon dont elles calfeutrent leur habitacle pour vivre en sécurité…j’ai plutôt envie de suivre leur modèle.
une base :
4 à 6 gélules suivant le poids
- pour une cure toutes les 2 semaines les 7 jours qui précèdent chaque chimio
- pour une cure toutes les 3 semaines les 10 jours qui précèdent chaque chimio
Deux producteurs sérieux : Propolis la Royale et Propolis Pollenergie.