Bonjour la reprise…je peux enfin me servir de mon oeil gauche qui avait quelques soucis sur sa rétine. Alors j’en profite pour vous communiquer la dernière lettre de Michel Dogna.
Même si on est parfois obligé de passer par la chimie ( et j’en sais quelque chose ), restons conscient du fait que si l’on peut s’en passer, on doit toujours être en recherche de ce qui ne nuit pas à l’organisme ( notamment par les effets secondaires toxiques ).
Par rapport à l’approche traditionnelle de soins, la « médecine holistique », s’occupe de l’être humain non seulement dans sa totalité physique (mécanique et biochimique), mais aussi émotionnelle (drames non digérés), mentale (programmes toxiques verrouillés) et environnementale (travail, famille, entourage, lieux).
Bonne lecture
une vision qui permet l’auto-guérison
J’ai fait mes études de médecine à Genève puis, après une année d’hôpital, je me suis installé comme médecin généraliste. J’avais la tête pleine de noms de maladies, je me croyais intelligent (alors que je n’étais qu’un perroquet savant !) et je m’efforçais de prendre soin au mieux de mes patients.
A leur demande, je leur prescrivais fréquemment du Valium, cette benzodiazépine ancêtre du Prozac actuel, que l’industrie pharmaceutique présentait comme la « pilule du bonheur » capable d’effacer votre stress par un coup de baguette magique sans que vous n’ayez quoi que ce soit à changer dans votre mode de vie.
Des millions de gens, dans les pays Occidentaux, bercés par la publicité, adoraient cette substance censée leur ouvrir les portes du paradis : un bien-être artificiel créé par les progrès de la science médicale. On ne savait pas encore à cette époque que cette catégorie de médicaments constituait l’une des principales causes de ces maladies neuro-dégénératives, comme la maladie d’Alzheimer, qui frappent de plus en plus de personnes âgées dans les pays du nord de la planète.
Un jour, en apprenant que les premiers homéopathes avaient expérimenté sur eux-mêmes toutes sortes de substances pour en connaître les effets, je me suis dit que je devrais prendre du Valium pendant quelques jours pour voir son effet sur mon propre corps. Je ne savais pas que ma vie allait être bouleversée et transformée pour toujours !
Après trois jours de Valium, je voyais double, souffrais de vertiges et de troubles digestifs et je me sentais vraiment très mal dans ma peau. Ce fut comme un réveil brutal, une douche d’eau glacée qui me dit : « Et si tous les médicaments chimiques n’étaient que des leurres, des moyens illusoires d’aller mieux alors qu’ils ne font qu’alourdir la cause première de toutes les maladies, à savoir l’intoxication du corps ? »
Toutes les idées reçues pendant mes années d’études s’effondraient brutalement devant cette évidence : les médicaments chimiques, qui ont certes leur utilité dans les situations d’urgence, sont totalement inadéquats dans toutes les maladies chroniques !
Au lieu de guérir ils aggravent l’intoxication de l’organisme. Les habitants des pays Occidentaux sont plongés dans cette spirale infernale : plus ils sont empoisonnés par des aliments et un mode de vie antinaturel, toxique, plus ils consomment de médicaments chimiques qui ne font qu’empirer la situation.
Seules bénéficiaires de ce dramatique empoisonnement des populations, les multinationales de l’industrie pharmaceutique : plus les gens sont malades, plus elles s’enrichissent… Sans parler des vaccins dont la liste officielle des composants comprend 235 produits chimiques. Et on injecte cela à des nourrissons comme si c’était inoffensif !
Je me passionnais alors pour les médecines naturelles, dont le premier principe est « Primum non nocere » (d’abord ne pas nuire). Toutes ont pour but de soutenir le corps dans son travail d’auto-guérison.
J’ai donc appris l’homéopathie, l’acupuncture, les diététiques naturelles, les médecines énergétiques et les diverses psychothérapies qui cherchent toutes à agir en respectant les lois universelles de la santé. Toutes ces approches font partie de la « médecine holistique », qui s’occupe de l’être humain non seulement dans sa totalité physique (mécanique et biochimique), mais aussi émotionnelle (drames non digérés), mentale (programmes toxiques verrouillés) et environnementale (travail, famille, entourage, lieux). J’ai aussi eu la chance de pouvoir aller rencontrer des peuples qui, sur la même planète que nous, vivent sans conflits et sans maladies. Leur mode de vie m’a montré ce que veut dire « vivre en harmonie avec la nature et avec soi-même »,.
Avec mon épouse, Johanne Razanamahay, nous enseignons les outils de la médecine holistique et nous avons l’immense joie de voir les personnes qui viennent faire des stages chez nous repartir avec des étoiles pleins les yeux et la certitude que « tout peut être guéri ».
Le Docteur Christian Tal SCHALLER est un médecin suisse qui enseigne que, grâce à la médecine holistique, chacun peut devenir l’artisan d’une vie épanouie et rayonnante. Auteur de plus de 60 livres consacrés à la santé globale, Tal parcourt le monde avec son épouse, Johanne, pour donner à tous les outils de l’indépendance et de la joie de vivre conscient.
Toutes les informations sur ses livres et stages sur son site contenant de nombreuses vidéos
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