Des chercheurs de l’Université de Hong Kong ont observé 49 médecins en bonne santé. Ils ont formé deux groupes :
- le premier avait trois nuit de travail par mois ;
- le second n’avait pas d’obligation de travailler la nuit.
Les médecins tenaient un journal du sommeil.
On leur prélevait un échantillon de sang tous les trois jours. L’étude a duré 4 mois.
Et quelles ont été les conclusions de l’étude ?
Ceux qui dormaient moins avaient l’ADN abîmé. Leur ADN subissait davantage de cassures que les médecins de l’autre groupe.
Par ailleurs, les scientifiques ont également noté que ces cassures d’ADN se réparaient plus difficilement.
Dès la première nuit sans sommeil, des dommages apparaissent.
Cette nouvelle étude vient s’ajouter à toutes les publications des dernières années sur la question du sommeil.
Il est désormais acquis que le sommeil a une incidence directe sur :
- la baisse de la concentration,
- les troubles de l’humeur,
- la prise de décision,
- la capacité à faire face aux défis de la vie,
- l’affaiblissement du système immunitaire,
- la dépression,
- l’hypertension artérielle,
- les problèmes cardiovasculaires,
- le surpoids,
- l’apparition des cancers
- etc.
source : Augustin de Livois IPSN


Merci pour cet article !
Merci pour votre commentaire Jean et surtout « dormez bien »