Dans une nouvelle étude parue dans The Journal of Nutrition, des chercheurs ont comparé l’effet d’une alimentation cétogène à celui d’une alimentation pauvre en matières grasses chez 45 femmes atteintes d’un cancer ovarien ou de l’endomètre.
L’intervention a duré 12 semaines et a permis d’observer chez les participantes soumises au régime cétogène un niveau plus faible d’IGF-1, le principal facteur de croissance des cellules cancéreuses.
En plus de priver les tumeurs de sucre, leur carburant, l’alimentation cétogène permet donc d’instaurer un environnement métabolique qui n’est pas favorable à leur progression.
Il y a du bons sens dans cette étude.
Merci NEOSANTE