Dans un article précédent je vous ai parlé d’un livre extraordinaire qui s’appelle « les 9 clefs de la rémission ». Il a été écrit par Kelly A. Turner chercheuse, spécialisée en oncologie et consultante en médecine intégrative. Elle a analysé plus de 1000 cas de rémission consignés dans des publications médicales.
Aujourd’hui je voulais vous livrer l’exemple de Ron (extrait de son livre)
Ron, un des survivants que j’ai rencontrés, a modifié considérablement son alimentation, particulièrement en supprimant le sucre. À 54 ans, on lui diagnostiqua un cancer de la prostate (selon ses analyses sanguines, son score de Gleason était de 6 et son taux d’antigène prostatique spécifique [PSA], de 5,2). Résultat que confirmèrent 2 de ses 12 échantillons de biopsie.
Ses médecins recommandèrent donc l’ablation complète de la prostate.
Mais Ron avait récemment entendu parler de quelqu’un qui avait guéri de son cancer grâce à l’alimentation. Il décida de chercher d’abord de ce côté-là. Comme dans sa petite ville, il n’y avait pas d’oncologue ni de nutritionniste pratiquant une approche intégrative, il entreprit de lire divers ouvrages et articles sur la question. On y expliquait, entre autres choses, que les cellules cancéreuses consommaient de grandes quantités de sucre et rappelait à quel point l’alimentation classique des Nord-Américains en était riche, la pomme de terre et le pain blanc en étant de bons exemples.
Au bout de quelques semaines de recherche intense, il décida de reporter son intervention chirurgicale et d’essayer plutôt de changer radicalement son alimentation. Le cancer a probablement été la meilleure chose qui me soit arrivée, m’a-t-il confié, car si je tenais à garder la forme, je ne mangeais pas très bien. J’étais vraiment accro au sucre… Pour me débarrasser de mon cancer, je l’ai supprimé ainsi que tous les aliments raffinés. Finis, les pommes de terre, le pain blanc et les aliments semblables. Je me suis aussi mis à consommer beaucoup de légumes à feuilles vertes et de jus de chou, ce que je fais toujours quoique pas aussi souvent que je le devrais… Le cancer est anaérobie… et le glucose est la navette d’azote qui le nourrit. Si vous supprimez cet approvisionnement en glucose, le cancer ne pourra survivre. Après avoir apporté ces changements à son alimentation, son taux d’PSA descendit au niveau sain de 1,3 en moins d’un an et il put éviter ainsi l’ablation chirurgicale de sa prostate, ce qui aurait eu des effets négatifs permanents sur ses fonctions urinaire et sexuelle. Cela fait maintenant plus de sept ans qu’il est en rémission.
Toujours intéressant merci Daniel. Et toi comment vas tu ? Des bises
Merci pour ton p’tit coucou…je vais plutôt bien…l’énergie est bien là…j’espère vous voir un de ces jours. Bizzz