Cette fête de Noël m’a permis de prendre conscience…Ces prises de conscience s’enchaînent…quelque part quelle chance !!!!
La maladie complique le bonheur, mais ne l’empêche pas. La maladie dite mortelle, nous rend dans un premier temps envieux du bonheur des autres en bonne santé et de leur inconscience à l’être.
Elle nous intoxique de tristesse et ressentiment. Les fêtes entre amis, familles, collègues ont tendance a renforcer ces effets.
Je remarque qu’il est important d’ouvrir les yeux sur l’inutilité et la dangerosité de cette position de vie.
La maladie peut jouer le rôle d’un aiguillon vers plus de conscience du bonheur simple d’exister, malade ou non. A ce moment, elle relâche son emprise sur notre esprit.
Je dois préciser qu’il faut beaucoup de temps et de travail pour franchir toutes ces étapes, lorsqu’on est soi-même la personne malade.
Méditons ensemble pour être plus fort